L’hommage aux morts, vu par des Camerounais…
16 novembre 2015
Le 16 octobre, ma belle-sœur est décédée des suites d’une maladie aussi courte qu’inexplicable. Pendant trois semaines, la famille s’est régulièrement réunie pour lui organiser des obsèques dignes de ce nom. Trois semaines de cotisations, trois semaines de privations, trois semaines d’emprunts contractés çà et là, pour que, le jour fixé pour l’enterrement, tout se déroule « dans les règles de l’art ». Et ce fut le cas. Samedi 7…