Quand Yaoundé respire, le Cameroun agonise
20 octobre 2014
On le dit très souvent, « À quelque chose, malheur est bon » ; samedi dernier, j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte. Vous avez certainement encore en mémoire les polémiques créées par le choix du lieu d’inhumation de madame Mboutchouang Rosette, la belle-mère du Nkunkuma*. Eh bien, cet événement malheureux m’a permis de comprendre un certain nombre de choses sur l’avenir du Cameroun, suite à la sortie du griot ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Issa Tchiroma Bakary.