Chers Camerouns, chers parents…
2 octobre 2014
Chers parents, Je m’abstiendrai de vous demander comment vous allez, car je peux imaginer la peine que vous ressentez. Je sais que vous n’allez pas bien, et que vous nous en voulez certainement. Je vous comprends. Ce que nous avons fait est grave, très grave. Une fois de plus, nous avons oublié votre anniversaire de mariage. C’était hier, premier octobre.